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Où va la JSK ? Rien ne va plus dans le club le plus titré du pays !


En déplacement à Béchar pour affronter la JS Saoura, la JSKabylie a subit une énième défaite (2-0) et totalise huit matchs sans aucune victoire. Une défaite qui a poussé le club à se maintenir à la 13e place juste devant le premier relégable USM El-Harrach.

Pourtant, après la précieuse victoire arrachée à la maison en Coupe d’Algérie face à US Ben Aknoun, qui constituait une véritable lueur d’espoir pour les Kabyles, et le recrutement des deux joueurs de taille à savoir Hammar de l’USMA et et Benyoucef du PAC, voilà qu’ils attendent une réaction à Béchar face une équipe imbattable jusque-là en Ligue 1. Mais à défaut de sursaut d'orgueil, il n’en fut rien car la JSS a chamboulé tous les desseins kabyles.  

Il faut remonter très loin dans les annales de la JSK pour trouver des similitudes avec son parcours de ces dernières années, un gâchis considérable, c’est un vrai cauchemar que vivent les camarades de Redouani.

Les jours à venir s’annoncent des plus ardus pour un club déjà à l’agonie et qui risque de s’enfoncer un peu plus en bas du tableau. Qui peut croire qu’un prestigieux et grand club comme la JSK pouvait devenir ce petit club qui milite chaque année à se maintenir en ligue 1 ?

Aujourd’hui, on constate que tout le monde en a assez de cette situation, ce ras le bol exprimé par tous les fidèles du club à chaque année, on assiste à un scénario récurent et c’est toujours la piste du club "le plus titré du pays" qui est évoquée et revient souvent pour cacher le fait que le club ne reste de lui que le nom qu’il porte, mais comme dit l’adage "Celui qui n’avance pas chaque jour, recule chaque jour".

On aurait cru que le problème venait de l’ex président, des anciens joueurs ont cautionné la gestion de Hannachi durant des années et se réveillent pour tenter de redresser la barre et obliger le président le plus titré d’Algérie à quitter le navire par la petite porte. On a appelé Sadmi, ce dernier a essayé de redonner au club son titre d’antan mais n’a tenu que deux mois pour être destitué du directoire. Le prochain venu, c’était un investisseur de la région, Monsieur Madjène avec son équipe, que malgré les efforts fournis, peinent à redonner le sourire aux chauvins. Mais où se situe vraiment le problème ?

Il est donc incontestablement sûr que la sérénité n’est toujours pas au rendez-vous du côté du club phare des Genêts …

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